Friday, January 26, 2007

Vacances 2007 round 1

1 year of business expenses and invoices


I've just finished my tax return! Submitted and paid for online.

I'm a free man again!

Next year i'll start in July...

Monday, January 15, 2007

Un message de mon frere Bernard...

Un tres beau texte de mon frere, que je publie ici avec plusieurs mois de retard - sorry Bernard!

Bonjour à tous ; point de récit fantastique cette fois-ci, pas de voyage, pas d’aventure. Mes dernières photos n’étant pas encore accessibles, j’ai dans ma musette un lot de consolation.
Voilà six mois maintenant que je fréquente une salle de gym et je voudrais vous livrer les réflexions que cela m’a amené à formuler. Pour ne pas trop vous accabler, je les synthétiserai en quatre questions : « pourquoi si cher ?», « quelle population ? », « pourquoi faire ? » et « métaphysique du tapis roulant ».
Pourquoi si cher ?
Le principe économique de la salle de gym est très bien expliqué par le Financial Times : les tarifs prohibitifs ne participent pas forcément d’une volonté de sélection par l’argent, ils servent avant tout de motivateur pour l’adhérent. En effet, selon le vieux principe économique du « sunk cost », l’adhérent se sent obligé d’aller à la salle de sport, pour ne pas perdre le prix du trimestre qu’il a payé fort cher. Il se motive ainsi par l’autoflagellation.
J’y ajoute une autre dimension, connexe : l’alibi. Les horaires et l’organisation font que je dois être présent à la salle à 19 heures. Ma cotisation me permets de matérialiser un besoin de quitter le bureau. Ainsi plusieurs fois par semaine, j’ai une parfaite excuse pour quitter le travail à 18heures 30. Sans la gym, je pourrais y rester jusqu’à… il n’y a pas vraiment d’heure fixée.
Quelle population ?
Qui rencontre-t-on dans un club de gym ? Première constatation: l’instinct grégaire fait que hommes et femmes se parquent dans deux coins distincts et incompatibles. D’un côté, les hommes tirent de la fonte dans le coin musculation, tandis que les filles gigotent sur le parquet de la salle de fitness. La séparation est assez marquée, difficile à enfreindre. Celui qui s’essaie néanmoins au cours de fitness comprend vite en quoi les femmes sont bien plus endurantes que les hommes (il faut bien ça pour survivre à un acouchement). Remarquez que le prof n’est pas du tout barraqué comme les aficionados de la gonflette.
En parlant d’eux, une catégorie rassemble certains adhérents des deux sexes : ceux pour qui « fitness » est plus qu’un mot, un idéal durement atteint. Vous me ferez remarquer qu’on n’atteint jamais un idéal, et c’est justement tout l’intérêt de ces tordus. Ils sont effrayants d’une part par leur forme qui, comparée à la notre, fait croire qu’ils ONT atteint leur idéal, et d’autre part par leur ascétisme sportif qui tend à l’intégrisme. A ce propos, Slate.com fait judicieusement remarquer que la fréquentation des salles de musculation était l’un des seuls point commun entre les terroristes de New York, Madrid et Londres… (http://www.slate.com/id/2142772/).
Heureusement, le commun des mortels fréquente aussi les salles de sport. La carrure moyenne des garçons, la culotte de cheval des filles font que le débutant partage son sens du ridicule. Leur arrivée ici nous amène à la question suivante :
Pourquoi une salle de sport ?
Dans la société moderne, la plupart des jeunes font des études. Leur parcours sportif et physique se résume donc ainsi :
Au collège et au lycée, le corps se développe, l’adolescent est chaque année plus fort, plus rapide, plus agile. Il le perçoit aisément et avec satisfaction puisque le collège et le lycée lui imposent de faire du sport.
Le corps commence à vieillir à l’âge de vingt ans. Quel dommage ! Justement à cet âge, le jeune est à la fac, environnement particulièrement déresponsabilisant qui substitue à l’obligation de sport un fort encouragement à la consommation de bière (fossoyeuse des abdos) et au manque de sommeil.
Résultat des courses : passés 25 ans, le jeune adulte prends plus ou moins conscience « qu’il n’a plus vingt ans ». L’âge guette, et le vieillissement, maladie honteuse des temps modernes, n’est pas loin ! Le recours à un centre de « remise en forme » amène la dernière question.
Reste le plus grand mystère des salles de sport :
“Pourquoi, grands dieux, courir bêtement sur un tapis roulant caoutchouté alors que la nature nous offre de belles balades, surtout quand il fait beau ?”
La réponse m’est venue par éléments, avant de me sauter littéralement au visage.
En plein hiver, une grande chaîne de fitness étalait ses publicités sur les murs du métro parisien. Sur les silhouettes bicolores (pompées à la pub de l’ipod), les slogans s’adressaient directement à la cible des cadres stressés en empruntant à Guy Debord sont goût du chiasme : « enchaîner les réunions / déchaîner ses pulsions », mais aussi et surtout : « courir après le temps / prendre le temps de courir ».
Le déclic eut lieu au cinéma : une publicité nous montrait en gros plan de belles gambettes courant sur place. Ces guibolles de trois mètres de haut, hypnotiques, me permirent de comprendre le principe fondamental du tapis roulant, et partant, toute la simplicité et le génie automanipulateur de la salle de sport : l’idée est précisément de courir SANS bouger.
Car courir sans avancer, c’est vivre sans mourir.

Sunday, January 14, 2007

2 hours of stress busting activity latter:



A stilton, mushroom and potatoes pie; a salmon, carot and broccoli quiche and a simple cake.

It took me an hour to clean the kitchen and living room after all that thought!

The receipe for the salmon and broccoli quiche is here

Wednesday, January 10, 2007

What now ?!

No electricity in the kitchen since tuesday !!!

So i moved all the appliances in the living room, and the rats now live where the fridge should be.

The funny (?) side is that i was delighted that it was an electrical problem at first. Why? Simply because the first thing we noticed was that the central heating stopped working. Fixing it was just a question plugging the boiler - with an extension lead - in the living room. Phew!

What will be the next thing to go ? Race leaders are the laptop power supply and the car, which has sprung a new noise - mechanical this time - as soon as i got it back on the road after its last tantrum...

Thursday, January 04, 2007

B. A.

Pour me faire pardonner de n'etre pas venu a la soiree du reveillon chez des collegues de boulot espagnoles, je les ai emmenes la pour leur faire decouvrir l'escalade. Ensuite je les ai emmenes ici pour qu'elles puissent pratiquer leur anglais hors du boulot. Mais comme il a fallut passer chez elles pour une douche, changer de tenue et un plat de pates au chorizo, quand on est arrive il n'y avait plus personne! A peine le temps de s'assoir et deux autres collegues, polonais, nous rejoignent! Donc on a parle en anglais, mission presque accomplie...

Au fait, la voiture est reparee !!!

Monday, January 01, 2007

Ca commence bien!

Je rentre de vacance, devant bosser dur au sports shop pendant le premier de l'an et les soldes et ma voiture me lache!

Si vous voulez des details, allez voir sur le forum citroen ce qui m'arrive...

Vendredi Tom (avec qui j'ai fait le mountain marathon) m'a pris en covoiturage, samedi j'ai emprunte la voiture de Harley et ai fait un detour de 2 heures pour aller a une casse acheter une piece, dimanche Harley m'a depose a 12km du boulot et j'ai couru, ce qui m'a fait beaucoup de bien pour evacuer ma frustration ! Et Sue m'a depose a la maison. Demain, ca va etre un melange de train et de velo...

Et dire que j'etais content d'avoir vendu la skoda avant noel!

Bon, on va dire que comme le probleme est apparu jeudi, c'est le dernier coup du sort de 2006. Et comme aujourd'hui j'ai fait une course d'orientation avec Mike, que je n'avais pas vu depuis 6 mois, sur la coline deriere la maison, l'annee commence bien!

Bonne annee 2007 a tous!

En photo: Harley me depose a la junction 25 de la M1 dimanche matin


Et une heure avant que ma voiture decide de ne plus demarer, Caroline m'apprend une recette de muffin: